Le Portail des Études Économiques

Qui sommes-nous?

Basée à Paris, la Direction des Études Économiques de BNP Paribas est composée d’économistes et de statisticiens :

  • L’équipe Économies OCDE, en charge des prévisions macroéconomiques et financières et l’équipe de statisticiens toutes deux dirigées par Hélène Baudchon.
  • L’équipe Économies émergentes et risque pays, dirigée par François Faure assisté de Christine Peltier, chargée d'évaluer le risque pays et ses composantes.
  • L’équipe Économie bancaire, dirigée par Laurent Quignon, étudie notamment les systèmes bancaires des principaux pays développés et l’incidence des normes prudentielles.


William DE VIJLDER
William DE VIJLDER
Directeur de la Recherche Économique Groupe

« Les Études économiques ont pour mission de répondre aux besoins des clients, des lignes de métiers et des fonctions de BNP Paribas en matière de recherche économique. Notre équipe d’économistes et de statisticiens couvre un nombre important de pays avancés, en développement et émergents, l’économie réelle, les marchés financiers et l’économie bancaire. Ce site, qui présente nos analyses, nos vidéos et nos podcasts, permet de partager le résultat de nos recherches avec tous ceux qui souhaitent mieux comprendre le contexte économique ou qui s’intéressent à des problématiques spécifiques. »

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Pascal DEVAUX

+33(0)1 43 16 95 51
pascal.devaux@bnpparibas.com


Expertise

Moyen-Orient, Balkans - Scoring

Publications

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Analyses

EcoTV Week
30/03/2023 • Par Pascal DEVAUX

L’Égypte connait actuellement une détérioration de l’ensemble des indicateurs macroéconomiques. En 2023, on devrait assister à un ralentissement de la croissance dans un contexte de très forte poussée inflationniste. Contrairement aux autres pays émergents, l’inflation devrait accélérer en 2023, en raison notamment de la dépréciation de la livre égyptienne de 50% depuis un an.

L’économie du Qatar est dominée par la rente gazière qui fournit des revenus très élevés et amortit les chocs externes. Grâce à l’augmentation attendue de 60% de sa production, le Qatar continuera de bénéficier des perspectives favorables du marché du gaz à court et moyen terme. A long terme, dans un contexte de décarbonisation des économies, le gaz naturel devrait jouer le rôle d’énergie de transition. Néanmoins, la dépendance du Qatar aux hydrocarbures restera très élevée.

EcoTV Week
27/05/2022 • Par Pascal DEVAUX

Aux Émirats Arabes Unis, les perspectives économiques sont positives à court terme grâce à la hausse des prix du pétrole et à la reprise de l’activité dans les services. A moyen terme, la poursuite des réformes du secteur public va renforcer la solidité budgétaire. Néanmoins, la dépendance aux hydrocarbures restera significative et les conglomérats publics sont vulnérables au durcissement des conditions de financement en raison d’une dette importante.

EcoTV Week
18/03/2022 • Par Pascal DEVAUX

La forte hausse des prix des matières premières agricoles provoque un creusement du déficit des comptes courants et devrait accélérer la détérioration de la liquidité en devises du pays. Dans ce contexte, un nouveau soutien financier international pourrait être nécessaire.

EcoTV Week
30/07/2021 • Par Pascal DEVAUX

L’économie saoudienne a traversé une période difficile en 2020, mais les perspectives sont positives à court terme. Il y a eu un double choc : la pandémie de covid 19 et surtout chute des prix du pétrole.

En effet, en plus des effets directs sur les revenus budgétaires et sur la croissance, le gouvernement a dû prendre des mesures budgétaires défavorables à la consommation des ménages qui ont amplifiées la récession. Le taux de TVA a triplé et des transferts publics aux ménages ont été réduits.

Le déficit a atteint un niveau très élevé à plus de 11% du PIB et la récession économique a été la plus forte depuis plus de vingt ans (-4,1%).

La reprise devrait être modérée cette année (2.3%), favorisée par le rebond des prix du pétrole et la hausse de la production en lien avec l’accord OPEP+. Le déficit budgétaire devrait atteindre environ 3% du PIB.

A moyen terme, cette difficile année 2020 aura quand même eu un effet positif puisqu’elle a permis une accélération de la consolidation budgétaire qui est favorable à la diversification des revenus. Par contre, l’incertitude persistante sur le marché du pétrole va continuer de peser sur le rythme des réformes économiques.

En Israël, face à la pandémie, les mesures de restriction ont été importantes et ont sévèrement affecté la consommation des ménages. Le taux de chômage et le déficit budgétaire ont atteint des niveaux records. Néanmoins, les exportations high-tech et le soutien budgétaire ont permis de limiter la récession. Une campagne de vaccination très active devrait permettre une rapide sortie de crise, mais l’incertitude politique continue de peser sur les perspectives budgétaires.