Une opération réussie de market timing entre actions et liquidités suppose un niveau de compétence élevé. Un pré-requis qui s’accentue avec la grande faiblesse des taux directeurs, par leur impact sur les taux du marché, qui dissuade les investisseurs de recourir à ce type d’opération. Il en est de même de l’assouplissement quantitatif.Ces questions jouent un rôle important du point de vue de la stabilité financière. La frilosité de plus en plus grande des investisseurs à l’égard de ces opérations réduit probablement la volatilité des marchés actions et conduit à un accroissement de la valorisation
Le PMI composite mondial n’a guère évolué en septembre, malgré un repli assez significatif dans la zone euro, dû à l’Allemagne, à l’Italie et à l’Espagne. Le Japon et la Russie ont légèrement progressé. Le PMI manufacturier mondial est resté inchangé en septembre. Les perturbations de la chaîne d’approvisionnement et les goulets d’étranglement du côté de l’offre continuent de peser sur les niveaux d’activité.
D’après notre baromètre, la situation conjoncturelle de la zone euro reste bonne et s’avère relativement stable par rapport au trois mois précédents, à l’exception notable des ventes au détail.
C’est l’un des paradoxes choquants de l’Amérique, berceau du miracle vaccinal contre la Covid-19 mais où les victimes quotidiennes de la maladie se comptent encore par milliers. Encore trop meurtrière, la vague épidémique des mois d’été a sans doute freiné la reprise de l’emploi.
Le nombre de nouveaux cas quotidiens dans le monde continue de baisser. On enregistre, par ailleurs, dernièrement une baisse de la fréquentation des commerces et des lieux de loisirs en France, en Italie, en Belgique, au Japon et au Royaume-Uni, alors qu’elle continue de progresser en Allemagne, en Espagne et aux États-Unis.