La volatilité des cours du pétrole reflète les incertitudes du contexte international. Après avoir décroché en avril dernier, après l’annonce de droits de douane « réciproques » par le président Trump, ils ont gagné une dizaine de dollars durant les 12 jours du conflit entre l’Iran et Israël, avant de rechuter depuis l’accord de cessez-le-feu. De fait, les fondamentaux du marché pétrolier sont fragiles et, sous réserve que les tensions au Moyen-Orient se stabilisent, le cours du Brent est attendu à 65 dollars (USD) en moyenne en 2025-2026 contre 79,8 USD en 2024. Pour les pays du Golfe, où les hydrocarbures génèrent 60% des revenus du gouvernement et 70% des recettes d’exportations, les conséquences seront multiples.
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