Dans cette publication, l'édito d'Isabelle Mateos y Lago et nos rubriques Revue des marchés et Scénario économique.
Les nouvelles de la semaine dernière ont été déprimantes pour beaucoup en Europe. D'abord, nos amis américains ont choisi de faire revenir à la Maison Blanche un homme qui a déclaré, il y a seulement quelques semaines, que l'Union européenne devrait « payer un prix fort » s'il gagnait. Ensuite, en Allemagne, la coalition au pouvoir s'est effondrée, Volkswagen a annoncé la fermeture de certaines de ses usines puis, une semaine plus tard, les deux plus grandes banques allemandes ont communiqué une augmentation massive de leurs provisions pour créances douteuses
Croissance du PIB, inflation, taux d'intérêt et de change.
Pouvez-vous nous aider à améliorer le site en répondant à ce court questionnaire ?Toutes vos réponses sont anonymes et ne seront utilisées qu’à des fins d’amélioration.Temps estimé : 3 minutes