Si la première moitié d’année a été meilleure que prévu dans la zone euro, les perspectives sont négatives pour la seconde moitié. D’après nos prévisions, la zone euro n’échappera pas à une contraction de son PIB à l’horizon des prochains trimestres. La conjonction actuelle inédite des chocs (inflationniste, sanitaire, géopolitique, énergétique, climatique, monétaire) devrait avoir raison de la résistance observée jusqu’ici.