Entre le 4 et le 10 janvier 2023, 3,4 millions de nouveaux cas de Covid-19 ont été enregistrés dans le monde, soit une baisse de -3% par rapport à la semaine précédente. Il s’agit de la troisième semaine consécutive de baisse des contaminations après sept semaines de hausse quasi continue. Le nombre de nouveaux cas continue de fléchir nettement en Amérique du Sud (-24%) et, dans une moindre mesure, en Europe (-12%).
3,9 millions de nouveaux cas ont été décomptés entre le 7 et le 13 décembre, contre environ 3,6 millions la semaine précédente, soit une hausse de 8,3%. Il s’agit de la cinquième semaine consécutive de hausse des contaminations, une évolution d’autant plus remarquable que toutes les régions ont signalé une augmentation des cas hebdomadaires, exception faite de l’Afrique, qui a fait état d’une diminution de 17%.
En Turquie, la croissance a bien résisté (+3,9% en glissement sur un an au T3 2022) en dépit de l’envolée de l’inflation. La consommation des ménages en a été le principal soutien avec une progression de 19%. Pourtant, l’accélération de l’inflation (de 19% en glissement sur un an au T3 2021 à 74% au T2 2022) a entrainé une contraction de la masse salariale en termes réels jusqu’au T2 2022 malgré une forte reprise de l’emploi. Depuis la mi-2022, l’inflation a continué d’accélérer (+84,4% en novembre) mais un rattrapage salarial a eu lieu consécutivement à la revalorisation du salaire minimum. Il ne saurait cependant expliquer l’écart entre la consommation et le pouvoir d’achat de la masse salariale.
Le nombre des nouveaux cas du Covid-19 continue d’augmenter dans le monde pour la troisième semaine consécutive. 3,2 millions de contaminations ont été enregistrées entre le 24 et le 30 novembre, soit une hausse de 10% par rapport à la semaine précédente. L’ensemble des régions sont concernées, à l’exception de l’Amérique du Nord.
Entre le 17 et le 23 novembre, 2,9 millions de nouveaux cas de Covid-19 ont été enregistrés dans le monde, soit une augmentation de 13% par rapport à la semaine précédente. Il s’agit de la deuxième semaine consécutive de hausse des contaminations. L’ensemble des régions du monde est concerné, l’Amérique du Sud se distinguant par une recrudescence nettement plus importante.
Après avoir baissé pendant un mois, les chiffres de la pandémie de Covid-19 repartent légèrement à la hausse dans la plupart des régions du monde, mais restent à un niveau bas. L’indicateur de substitution hebdomadaire du PIB est relativement stable, voire sur une tendance légèrement baissière, aux Etats-Unis, en France, en Allemagne, en Espagne, en Belgique et au Japon.
Le nombre de nouveaux cas de Covid-19 continue de baisser dans la plupart des régions du monde. Pour la première fois depuis le 20 octobre 2021, le nombre de contaminations est repassé sous la barre des 3 millions hebdomadaires en moyenne sur sept jours glissants. Ainsi, on a enregistré 2,45 millions de nouveaux cas entre le 27 octobre et le 3 novembre 2022, soit une baisse de 15% par rapport à la semaine précédente (graphique 1). Le nombre de nouveaux cas continue de baisser nettement en Europe (-34%) et, dans une moindre mesure, en Afrique (-8%), tandis qu’il s’est stabilisé en Amérique du Nord et du Sud. En Asie, le nombre de cas repart à la hausse (+11%), notamment au Japon (333 980, +25%), en Corée du Sud (293 934, +35%) et à Taiwan (270 077, -3%).
L’activité économique chinoise s’est redressée au T3 2022 (+3,9% en rythme trimestriel et +3,9% en glissement annuel) après la contraction enregistrée pendant les confinements au T2 (-2,7% t/t et +0,4% en g.a.). La reprise a été essentiellement tirée par le secteur industriel et aidée par les mesures de soutien prises par les autorités. La hausse de l’investissement public a notamment stimulé l’activité de construction dans les projets d’infrastructure et des incitations fiscales ont encouragé les ventes de voitures. En revanche, les effets de l’assouplissement des conditions de crédit et les mesures de soutien aux promoteurs immobiliers ont été très limités, et la contraction dans le secteur immobilier s’est poursuivie
La dynamique haussière du nombre de nouveaux cas de Covid-19 se poursuit pour la quatrième semaine consécutive en Europe. Selon les dernières données de l’université Johns-Hopkins, les pays européens recensent 59% (1,92 million sur un total mondial de 3,25 millions) des nouvelles infections de Covid-19 diagnostiquées au cours des sept derniers jours (graphique 1). Dans cette région, le plus grand nombre de contaminations a été enregistré par l’Allemagne (632 167, +54%), suivie de la France (382 191, +21%), l’Italie (282 347, +26%), la Russie (156 489, -26%) puis l’Autriche (95 894, +20%).
Le nombre de nouveaux cas hebdomadaires de Covid-19 en Europe continue d’augmenter pour la troisième semaine consécutive, avec 1,7 million de nouvelles contaminations entre le 29 septembre et le 5 octobre, soit une hausse de 17% par rapport à la semaine précédente. La fréquentation des commerces et des lieux de loisirs dépasse à peine son niveau pré-pandémique en Belgique, alors qu’elle est repassée récemment, légèrement, sous ce seuil en Italie. En revanche, elle demeure un peu plus nettement en deçà du niveau d’avant-Covid dans le reste de notre échantillon (France, Allemagne, Espagne, Japon, Royaume-Uni et États-Unis).
3,4 millions de nouveaux cas de Covid-19 ont été enregistrés dans le monde entre le 14 et le 21 septembre, soit une baisse de 4% par rapport à la semaine précédente. Il s’agit de la plus faible diminution depuis le mois d’août dernier. L’ensemble des régions du monde est concerné à l’exception notable de l’Europe qui, pour la première fois depuis le mois de juillet dernier, a enregistré une hausse. Dans les autres régions du monde, la tendance reste à la baisse.
La dynamique baissière du nombre de nouveaux cas de Covid-19 se poursuit pour la septième semaine consécutive dans le monde. 3,6 millions ont été signalés entre le 6 et le 12 septembre, soit 16% de moins que la semaine précédente (graphique 1). D’une façon générale, la situation continue de s’améliorer fortement en Amérique du Sud (-33%), en Amérique du Nord (-20%) et en Asie (-18), alors qu’elle s’est stabilisée en Europe après huit semaines de baisse. En Afrique, le nombre de cas repart à la baisse (-12%) après avoir légèrement augmenté la semaine précédente.
La tendance baissière du nombre de nouveaux cas de Covid-19 se poursuit dans le monde. Pour la première fois depuis la fin du mois de juin dernier, le nombre de contaminations est repassé sous la barre symbolique des 5 millions hebdomadaires (en moyenne sur sept jours glissants) : 4 millions de nouveaux cas ont été enregistrés entre le 1er et le 7 septembre, soit une baisse de 15% par rapport à la semaine précédente. Plus globalement, la situation continue de s’améliorer fortement en Amérique du Sud (-32%), en Amérique du Nord et en Asie (-18), mais aussi en Europe (-5%), alors qu’elle s’est stabilisée en Afrique après deux mois de baisse quasi continue.
Le nombre de nouveaux cas de Covid-19 continue de reculer pour la troisième semaine consécutive dans le monde. 5,5 millions de nouveaux cas ont ainsi été enregistrés entre le 18 et le 24 août, soit un recul de 6% par rapport à la semaine précédente. L’ensemble des régions sont concernées par cette baisse : Afrique (-21%), Amérique du Nord et Amérique du Sud (-18%), Europe (-8%) et Asie (-5%). Toutefois, ces chiffres doivent être interprétés avec prudence car plusieurs pays ont modifié leurs stratégies de dépistage de la Covid-19. Cela a engendré une diminution du nombre de tests effectués et, par conséquent, des cas détectés.
6,9 millions de nouveaux cas de Covid-19 dans le monde ont été confirmés entre le 13 et le 20 juillet, soit 9% de plus que la semaine précédente. Il s'agit de la cinquième semaine consécutive de hausse. C’est en Asie que la plus forte progression hebdomadaire a été enregistrée (45%). Dans le même temps, la fréquentation des commerces et des lieux de loisirs se maintient à son niveau pré-Covid en France, en Belgique et en Allemagne, alors qu’en Italie elle n’en est plus très loin. En revanche, la fréquentation demeure inférieure au niveau pré-pandémique aux États-Unis, au Royaume-Uni, en Espagne et au Japon.
Entre le 5 juillet et le 12 juillet, 6,2 millions de nouveaux cas de Covid-19 ont été enregistrés dans le monde, soit une augmentation de 15% par rapport à la semaine précédente. Il s’agit de la quatrième semaine consécutive de hausse des contaminations. L’ensemble des régions du monde est concerné, l’Europe se distinguant par une recrudescence nettement plus importante.
Le PIB belge a progressé de 0,5% au premier trimestre 2022, tandis que l’inflation continue de battre des records. La confiance des ménages a été mise à mal au début de l’invasion russe en Ukraine, ce qui pourrait plomber la croissance du PIB belge. L’indexation des salaires devrait atténuer l’impact de l’inflation sur la consommation du secteur privé au détriment de la compétitivité des entreprises belges. Dans un environnement de hausse des taux, l’assainissement budgétaire demeure essentiel.
Hier protégé par le « quoi qu’il en coûte », le pouvoir d’achat des Européens est aujourd’hui menacé par l’inflation. À nouveau sollicitées après la pandémie, les politiques publiques s’efforcent de limiter les pertes, sans y parvenir tout à fait. En 2022, le revenu disponible réel des ménages de la zone euro devrait reculer de l’ordre de 2,5%. Si la consommation progresse encore, c’est parce que le taux d’épargne baisse, une tendance qui masque une grande diversité de situations.
À l’issue de sa réunion du 16 juin, le Comité de politique monétaire (MPC) de la Banque d’Angleterre a procédé, sans surprise, à une nouvelle hausse de son taux directeur, la cinquième consécutive de 25 points de base, le portant à 1,25%. Ce durcissement, d’ampleur modeste comparativement à la hausse de 75 pb décidée par la Fed, vise à concilier la lutte contre la poussée inflationniste qui se poursuit toujours à un rythme soutenu (+2,5% m/m non corrigé des variations saisonnières en avril, soit 9% en glissement annuel) sans trop peser sur une économie déjà très négativement affectée par le choc inflationniste.
Les dernières données conjoncturelles publiées par l’Insee ont permis de préciser le timing et l’ampleur du choc de pouvoir d’achat sur la consommation des ménages, avec trois chiffres marquants : la baisse de 1,8% t/t au 1er trimestre du pouvoir d’achat du revenu disponible brut, la baisse révisée à -1,5% t/t (contre -1,3% en première estimation) de la consommation des ménages et la croissance du PIB révisée en baisse à -0,2% t/t (0% en première estimation).
L’épidémie de Covid-19 continue de ralentir dans le monde. Selon l’université Johns-Hopkins, 3,3 millions de nouveaux cas ont été enregistrés entre le 1er et le 7 juin, soit une baisse de -4% par rapport à la semaine précédente. Au niveau régional, l’épidémie continue de fortement refluer en Afrique (-24%) et en Asie (-18%), alors que le nombre de nouvelles contaminations s’est stabilisé en Europe, après deux mois de forte baisse.
La situation épidémiologique liée à la Covid-19 continue de s’améliorer dans la plupart des régions du monde. Pour la première fois depuis mi-novembre 2021, le nombre de contaminations est repassé sous la barre symbolique des 3,5 millions hebdomadaires (en moyenne sur sept jours glissants). Dans le même temps, la fréquentation des commerces et des lieux de loisirs se maintient à son niveau pré-pandémique en Belgique, en Allemagne et en France, alors qu’en Italie, on s’en approche. En revanche, la fréquentation demeure toujours inférieure au niveau pré-Covid dans les autres pays (États-Unis, Espagne, Royaume-Uni et Japon).
Selon les dernières données de l’université Johns-Hopkins, plus de 4 millions de nouveaux cas de Covid-19 ont été signalés dans le monde entre les 12 et 18 mai, soit une hausse de 5% par rapport à la semaine précédente (graphique 1). Il s’agit de la première hausse hebdomadaire observée depuis le début du mois de février. Par région, la situation continue de s’améliorer fortement en Europe (-20%), alors qu’elle s’est stabilisée en Afrique. En revanche, le nombre de cas continue d’augmenter en Amérique du Nord et en Amérique du Sud (17%). En Asie, on enregistre une première hausse après deux mois de baisse quasi continue. Par ailleurs, 66% de la population mondiale a reçu au moins une dose de vaccin (graphique 2).
La hausse spectaculaire des prix de l’énergie depuis avril 2021 constitue le principal levier de la flambée actuelle de l’inflation en zone euro. Cette hausse s’est accentuée depuis le déclenchement de la guerre en Ukraine, le 24 février dernier, entraînant la composante « énergie » de l’indice des prix à la consommation harmonisé (IPCH), qui a crû de 44,4% a/a en mars 2022. Les gouvernements des quatre principales économies de la zone euro se sont mobilisés pour tenter d’amortir le choc pour les acteurs économiques, en particulier sur le pouvoir d’achat des ménages, via différentes mesures : subventions directes, baisses de taxes, réglementation des prix ou revalorisation des revenus
L’inflation continue de se diffuser aux différents postes de l’indice des prix à la consommation. La composante « énergie » a légèrement reflué en avril (-2,5% m/m), après la mise en œuvre de la ristourne gouvernementale sur le carburant, mais cette baisse a été plus que compensée par l’accélération des prix des autres postes de consommation. Les prix alimentaires, singulièrement, ont progressé de 1,4% m/m en avril, une ampleur inédite depuis 20 ans (c’est-à-dire ni en 2007-08 ou en 2011, lors de précédentes vagues de hausse des prix alimentaires). Ce poste est le principal contributeur (0,2 point) à l’inflation mensuelle (+0,4% m/m).