L’indice du risque géopolitique, qui est également fondé sur la couverture médiatique, a augmenté la dernière semaine de janvier, après une baisse les première et troisième semaines. En dépit de cette volatilité assez importante, l’indice demeure à un niveau élevé en janvier, si l’on exclut les pics atteints lors de l’émergence d’un choc majeur (Covid-19, guerre en Ukraine, conflit au Proche-Orient, attentat en France en 2015).
En ce qui concerne les perspectives de l’emploi, l’incertitude a également baissé en janvier pour la deuxième fois consécutive, après trois mois de hausse, probablement en lien avec la résistance toujours importante du marché du travail américain (réaccélération des créations nettes d’emplois salariés non agricoles, stabilité du taux de chômage, dynamisme du salaire horaire).